Ce sont les objets d’impact, tranchants ou brulants. Tout accessoire servant à donner un coup ou une tape est un accessoire d’impact. Le fouet, le martinet, la cravache et la pagaie, pour en citer quelques-uns, peuvent ravir le sadique en vous. Vous l’aurez compris, la force que vous y appliquerez déterminera le degré de douleur infligé.
Maintenant, parlons sanglant. Graver vos initiales dans la peau de votre partenaire, ça vous parle ? Pour les sadiques qui sont excitées la vue du sang, marquer un symbole de possession sur le corps de l’autre à l’aide d’une dague, aiguille ou tout autre objet tranchant stérilisé est une pratique satisfaisante. Il est aussi possible de marquer au fer chaud. Exactement comme avec le bétail. Oui c’est douloureux pour la personne qui reçoit ce traitement. N’empêche que dans le feu de l’action, la personne masochiste consentante ressent plus de plaisir grâce à la douleur.
Il en est de même avec d’autres outils de destruction des parties intimes. Les accessoires comme les anneaux ainsi que les bougies utilisés afin de violement écarter, pincer, serrer ou bruler la vulve, les seins et les testicules provoquent aussi de vives douleurs. Ici, il n’est pas question de bougies d’ambiance. Faire couler la cire chaude et liquide de la bougie sur les parties sensibles du corps est une pratique appréciée pendant les rapports sado-maso.
En revanche, il est important de respecter les mesures de sécurité et d’hygiène. Prenez soin de sélectionner des bougies adaptées dont la température de la cire ne sera pas haute au point de cuir le clitoris ou les testicules. Le but lorsqu’on utilise des bougies est uniquement de faire ressentir la sensation de plaisir à travers celle de la brulure. En aucun cas, il ne s’agirait d’abimer définitivement le corps de votre partenaire. Ça fait mal mais c’est appréciable pour qui consent à recevoir ce traitement.
Rappel : Pour procurer de la douceur aussi bien que de la douleur à son autre, l’accord mutuel doit être clairement communiqué avant le début des hostilités. Le caractère ‘punition forcée ou esclave résistant’ du BDSM est un jeu de rôle. Toutes les parties désirent ardemment tous les traitements qu’elles donnent ou reçoivent. Après chaque expérience sanglante, les partenaires se soignent et consultent des médecins régulièrement.
Sur ce, terminons avec quelques accessoires de la douleur pour le plaisir.